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Créez votre environnement Assembleur C64 sous Windows avec VS Code

Tue, 10 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

Vous vous souvenez de l’époque mythique du Commodore 64 ?

Ce bon vieux clavier qui claque, les disquettes qu’on insère délicatement dans le lecteur, les heures passées à dompter l’assembleur pour créer des petites merveilles de pixels et de sons… Ah, c’était le bon vieux temps !

Eh bien, figurez-vous qu’on peut retrouver un peu de cette magie en 2023, avec des outils modernes et sur un bon gros PC.

Pour cela, vous allez avoir besoin de quelques ingrédients de base :

Installer et configurer tout ça, c’est un peu le parcours du combattant mais rassurez-vous, tout est expliqué dans cette vidéo qui vous prend par la main et vous explique tout pas à pas, même si vous débutez.

Alors, vous commencez par installer Git, Java et Visual Studio Code. Ça, c’est la partie facile. Ensuite, vous récupérez Kick Assembler et VICE, et c’est là que ça se corse un peu. Mais suivez bien les instructions, et vous verrez, au bout de quelques minutes, vous aurez un environnement de développement parfaitement opérationnel !

Visual Studio Code dispose d’extensions pour faire tout un tas de trucs, et bien sûr, il en existe une pour l’assembleur C64. Une fois installée, vous pourrez profiter de la coloration syntaxique, de la complétion de code et même du débogage en temps réel avec VICE.

Ensuite, avec Kick Assembler, vous allez pouvoir écrire votre code source de manière beaucoup plus confortable qu’à l’époque. Déjà, vous n’êtes plus limité à 40 colonnes, et l’éditeur vous évitera bien des fautes de frappe. Mais le plus sympa, c’est que vous pouvez utiliser des macros, des constantes et même des instructions de haut niveau pour vous faciliter la vie. Et au final, Kick Assembler transpile tout ça en bon vieil assembleur 6502.

Quant à VICE, c’est tout simplement le meilleur émulateur C64 disponible actuellement. Il est hyper fidèle au hardware d’origine, et il propose une tripotée d’options pour faciliter le développement : exécution pas à pas, points d’arrêt, inspection des registres et de la mémoire, etc. Un vrai bonheur pour déboguer vos programmes !

Voici pour tester, un petit Hello World qui affiche un message à l’écran et change la couleur de la bordure.

;===============================================================================
; Ceci est un exemple de programme en assembleur pour Commodore 64
; utilisant l'assembleur KickAssembler.
;===============================================================================
; Constantes pour les couleurs du C64
BLACK = 0
WHITE = 1
*= $0801
;===============================================================================
; Le code BASIC au début sert à lancer notre programme en assembleur.
; Nous utilisons ici la macro BasicUpstart2 de KickAssembler qui génère
; automatiquement le code BASIC approprié.
;===============================================================================
BasicUpstart2(start)
;===============================================================================
; Notre programme en assembleur commence ici
;===============================================================================
start:
; Change la couleur de la bordure en noir
lda #BLACK
sta $d020

Et pour compiler, charger et exécuter le programme :

Pour compiler ce programme, assurez-vous d’utiliser l’assembleur KickAssembler. Vous pouvez le compiler en pressant F5 dans Visual Studio Code si vous avez configuré KickAssembler comme assembleur par défaut. Une fois compilé, vous obtiendrez un fichier PRG que vous pouvez charger dans l’émulateur VICE avec la commande suivante : LOAD "HELLO.PRG",8,1

Puis tapez RUN pour exécuter le programme. Vous devriez voir apparaître « HELLO WORLD! » à l’écran, avec la bordure de l’écran en noir.

Voilà, vous savez maintenant comment redonner vie à vos vieilles machines 8 bits dans un environnement ultra moderne et confortable. Plus d’excuse pour ne pas vous remettre à l’assembleur et pondre les démos et les jeux de vos rêves !

Et si vous êtes un peu nostalgique, rien ne vous empêche de transférer vos programmes sur une vraie machine, armé d’un vieux lecteur de disquettes Commodore 1541 et d’une pile de D7. Et puis il y a une sacrée communauté de passionnés toujours prêts à vous filer un coup de main ou une bonne vieille rustine. N’hésitez pas à traîner sur les forums spécialisés comme Lemon64 ou C64-Wiki, vous y trouverez une mine d’infos, de démos et de bouts de code à recycler.

Avec ce setup VS Code + Kick Assembler + émulateur, vous pouvez également vous attaquer à plein d’autres machines mythiques : Atari 800, Apple II, ZX Spectrum, la liste est longue. Chaque hardware a ses spécificités et ses petits trucs à découvrir, de quoi vous occuper pendant des années !

Source


La rentrée 2024 avec Surfshark VPN et sa promo Amazon

Tue, 10 Sep 2024 05:45:35 +0000 - (source)

— Article en partenariat avec Surfshark —

Salut la compagnie ! C’est déjà la rentrée (j’ai l’impression que je vous disais au revoir pour 3 mois avant-hier, ouiiiin) et avec ça le retour des promos sur les outils de sécu qui finira en apothéose dans quelques semaines lors du black friday. Ces outils sont devenus aussi indispensables que votre brosse à dents connectée (si, si, ça existe). Et parmi la jungle des offres VPN, il y en a un qui sort du lot comme un requin dans une piscine municipale : j’ai nommé mon partenaire depuis des années, Surfshark ! Je reviens sur leur promo spéciale Amazon du moment plus bas 😉

Il n’y a pas si longtemps, Surfshark était encore le petit nouveau qui faisait trembler les mastodontes du secteur. Lancé en 2018, ce VPN a très vite réussi à se tailler une belle part du gâteau numérique. Et pour cause ! Il combine la puissance d’un grand blanc avec l’agilité d’un dauphin (métaphores marines, quand tu nous tiens). En 2024 on peut dire qu’il fait maintenant partie du trio de tête, en tous cas il est souvent dans ces eaux-là sur la plupart des comparatifs en ligne.

Côté vitesse, Surfshark ne fait pas dans la dentelle. Avec près de 3200 serveurs (100% RAM) répartis dans une centaine de pays, il vous permet de surfer comme si vous étiez assis sur une planche de surf en fibre optique. Alors c’est vrai, comme tout VPN qui se respecte, il va un poil ralentir votre connexion. Mais franchement, entre nous, c’est quasi transparent, surtout depuis qu’ils ont passé quasi l’entièreté de leur parc à une vitesse de 10 Gb/s (10x plus rapide qu’avant). Vous me connaissez, j’aime tester tout et n’importe quoi et je ne me suis quasi jamais retrouvé à pester sur la lenteur du bousin. Et si vous veniez suivre mes émissions en direct sur Twitch, vous le verriez de vos yeux vu 😉 Bref, vous ne verrez pas la différence en regardant votre série préférée sur Netflix ou Amazon Prime.

Des fonctionnalités qui en jettent

Surfshark, c’est selon moi, le meilleur des VPN. En plus de vous rendre aussi invisible qu’un tétra transparent dans la nuit, il vous offre :

L’offre Amazon du moment

Accrochez-vous à vos claviers, parce qu’en plus des prix attractifs classiques Surfshark rajoute un petit bonus sympa. Du 10 septembre au 10 octobre, et pour tout abonnement de 24 mois, le VPN offre à la population française un bon d’achat Amazon supplémentaire. Sans doute pour remonter le moral du pays après le truc olympique compliqué de l’été. On parle de :

Donc les abos sont respectivement de 61, 67 et 109€. Mais attention, il y a quelques petites conditions (parce que bon, faut pas déconner non plus) :

  1. Il faut garder son abonnement actif pendant au moins 31 jours. Le bon d’achat sera dispo dans votre espace Surfshark après cette période. Les petits malins qui pensaient profiter des 30 jours satisfaits ou remboursés pour récupérer leur versement ET profiter du bon d’achat quand même, on vous a vu venir 😉 Vous aurez alors 5 mois pour réclamer votre cadeau. Largement le temps d’oublier et de vous en rappeler 3 fois.
  2. Et si vous êtes déjà utilisateur du service ? On ne vous a pas oublié ! Il vous suffit de renouveler/prolonger votre période d’abonnement durant le mois de la promo pour recevoir le coupon également. Nouveaux utilisateurs et anciens peuvent bénéficier de l’offre. Le bon Amazon est valable 10 ans, donc vous avez le temps de savoir quoi en faire ! (comme me l’envoyer par exemple, à tout hasard hein). Vous pourrez même l’utiliser pour acheter les cadeaux de Noël de vos futurs enfants qui naitront en 2030, si on a survécu jusque là (mais ne prenez pas le risque, claquez le de suite hein).

Pourquoi Surfshark, et pas un autre ?

Alors là, accrochez-vous, parce que la liste est longue et même si j’en ai déjà fait des tonnes d’articles, pour résumer :

  1. Prix imbattable : c’est l’un des champions toutes catégories du rapport qualité/prix. Aussi simple que ça.
  2. Connexions illimitées : contrairement à certains concurrents, qui limitent à 5 ou 6 appareils, avec Surfshark, c’est open-bar ! Vous pouvez protéger votre smartphone, votre PC, votre tablette, votre frigo ou votre TV connectée, et même votre vieux routeur ou votre console. Ainsi que les appareils du reste de la famille.
  3. Facilité d’utilisation : l’interface est tellement simple que même votre poisson rouge pourrait l’utiliser (toujours pour rester dans l’imagerie aquatique). Bon, faudrait déjà qu’il ait des doigts, mais vous avez compris l’idée.
  4. Streaming de ouf : Netflix US, BBC iPlayer, Disney+, Amazon Prime… Surfshark ouvre les portes du paradis du streaming géobloqué pour les soirées d’hiver qui approchent.
  5. Sécurité au top : protocoles de chiffrement dernier cri, politique de non-conservation des logs (auditée plusieurs fois par des organismes indépendants)… Avec le VPN, vos données sont aussi bien protégées que le secret de la recette du Coca-Cola.

Classe, efficace, et avec plein de gadgets cool, Surfshark VPN est l’un des outils les plus appréciables pour votre sécurité. Alors, si vous voulez surfer sur le web comme un pro, protéger vos données comme Fort Knox, et en plus recevoir un petit cadeau Amazon au passage, vous savez ce qu’il vous reste à faire. L’offre court jusqu’au 10 octobre, ce qui vous laisse largement le temps de casser votre tirelire (ou de vendre un rein, au choix).

Allez, je vous laisse, j’ai une série coréenne qui m’attend sur Netflix Japon. 3 mois de congé et je n’ai pas réussi à terminer tout le catalogue, quelle misère j’vous jure.

Profitez des 10/20/30€ de réduction avec Surfshark et Amazon


Loki, l’outil open source qui vérifie les faits

Mon, 09 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

Loki, ça vous dit quelque chose ? Non, je ne parle pas du dieu espiègle de la mythologie nordique, mais bien d’un outil qui pourrait bien révolutionner la façon dont on traque les fake news. C’est une solution open source capable de passer au crible de longs textes pour en extraire les affirmations douteuses et les vérifier en un clin d’œil.

Loki est un projet vraiment prometteur pour tous ceux qui ont à cœur la vérification des faits, que vous soyez journaliste, chercheur ou simplement un citoyen soucieux de démêler le vrai du faux. Son atout majeur, c’est un pipeline complet qui prend en charge tout le processus, de la décomposition des textes en affirmations individuelles jusqu’à la vérification finale.

Et concrètement alors, comment ça marche ?

Eh bien, Loki commence par découper un long texte en petits morceaux plus digestes, histoire d’y voir plus clair. Ensuite, tel un fin limier, il évalue chaque affirmation pour déterminer si elle mérite d’être vérifiée. Exit les déclarations vagues ou ambiguës, on se concentre sur le concret !

Une fois les affirmations intéressantes identifiées, Loki se transforme alors en super détective du web. Il génère des requêtes précises pour partir à la chasse aux preuves sur Internet, en s’appuyant sur divers modèles d’IA tels que le traitement du langage naturel (NLP), l’apprentissage automatique (ML) ou encore l’extraction d’informations. Comme ça, fini les heures passées à éplucher les sources, il s’occupe de tout !

Et une fois les preuves rassemblées, il enfile sa casquette d’enquêteur pour évaluer la véracité de chaque affirmation. Tel un juge impartial, il examine les éléments à charge et à décharge pour rendre son verdict. Fake news ou info fiable ? Vous le saurez en un instant ! Il faut cependant garder à l’esprit que même si Loki s’appuie sur des modèles d’IA performants, aucun outil n’est parfait. Une supervision humaine reste donc nécessaire pour garantir la fiabilité des résultats.

L’interface est basique mais permet d’interagir directement avec le moteur de vérification. Pas besoin d’être un crack en informatique, c’est à la portée de tous.

Le top, c’est qu’il ne se contente pas de vous dire si une info est vraie ou fausse. Il vous explique aussi comment il est arrivé à cette conclusion, avec toute la transparence qu’on est en droit d’attendre de ce genre d’outils. Ça permet de sourcer et de justifier l’analyse. En prime, il sait se montrer pédagogue puisqu’en plus de débusquer les fake news, il vous proposera aussi une version corrigée et sourcée de l’information. De quoi devenir un pro de la vérification des faits en un rien de temps !

Si vous voulez tester Loki par vous-même, rien de plus simple. Il vous suffit de vous rendre sur le site https://loki.librai.tech/ pour découvrir toutes les possibilités offertes par cet outil. En attendant, voici un petit tutoriel pour bien démarrer avec Loki. Il vous faudra des clé API pour OpenAI, Anthropic et Serper.

Première étape : installez Python et Poetry en suivant les instructions sur le site officiel.

Ensuite, clonez le dépôt GitHub de Loki et lancez l’installation avec les commandes :

git clone https://github.com/Libr-AI/OpenFactVerification

cd OpenFactVerification

pip install -r requirements.txt

poetry install

Ça peut sembler un peu technique, mais promis, c’est à la portée de tous !

Une fois que tout est en place, vous pouvez commencer à jouer avec Loki.

Pour vérifier un texte, rien de plus simple :

python -m factcheck --modal text --input mon_texte.txt

Et voilà, Loki va se mettre au travail et vous fournir une analyse complète du texte et vous livrer à la fin un gros JSON.

Vous pouvez aussi tester avec différents types de contenu (image, vidéo, audio…) en changeant l’option --modal. Et si vous voulez personnaliser le modèle utilisé ou les sources de vérification, il vous suffit de passer un fichier de configuration en paramètre :

python -m factcheck --modal text --input mon_texte.txt --api_config ma_config.yaml

Notez aussi que tout ceci est dispo sous la forme d’une lib Python, donc facilement intégrable avec vos outils.

Avec ça, vous avez toutes les cartes en main pour devenir un pro de la vérification des faits. Alors, à vous de jouer ! Et si jamais vous avez besoin d’un coup de main, n’oubliez pas que la communauté Loki est là pour vous aider sur GitHub ou sur le serveur Discord dédié au projet.


SearXNG – Le métamoteur de recherche open source qui protège votre vie privée

Sun, 08 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

SearXNG est un métamoteur de recherche open source est un véritable couteau suisse de la recherche en ligne. Imaginez un peu : il agrège les résultats de plusieurs moteurs de recherche comme Google, Bing et DuckDuckGo, mais sans collecter vos données personnelles.

Avec cet outil, vous pouvez dire adieu aux cookies indiscrets et aux trackers qui vous collent à la peau. Ce métamoteur génère un profil de navigateur aléatoire pour chaque requête, rendant votre recherche totalement anonyme et les requêtes sont également envoyées via un serveur proxy pour cacher votre adresse IP.

En plus de protéger votre vie privée, SearXNG vous offre une expérience de recherche personnalisable à souhait. Ainsi, vous pouvez choisir vos moteurs de recherche préférés, ajuster les paramètres de confidentialité et même customiser l’interface. C’est vous le boss !

Sur le site, vous trouverez également d’une liste d’instances publiques que vous pouvez utiliser directement, sans avoir à installer quoi que ce soit mais si vous voulez vraiment avoir le contrôle total, vous pouvez suivre le guide d’installation pour créer votre propre instance privée.

Et rappelez-vous, comme le disait Edward Snowden : « Dire que vous n’avez rien à cacher car vous n’avez rien à vous reprocher, c’est pareil que de dire que vous vous fichez de la liberté d’expression parce que vous n’avez rien à dire.« 

Alors, prêt à faire de SearXNG votre nouveau moteur de recherche ?


Phoboslab – Des jeux web rétro de folie en HTML5 !

Sat, 07 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

Chers lecteurs, aujourd’hui je veux vous parler d’un studio de développement de jeux web qui fait vraiment des choses impressionnantes : Phoboslab. Ce studio indépendant fondé par Dominic Szablewski nous propose des petits jeux rétro old-school directement jouables dans votre navigateur préféré.

En effet, Phoboslab est spécialisé dans les jeux rétro avec des graphismes pixelisés qu’on adore et une ambiance nostalgique des années 80-90. Szablewski a même développé son propre framework JavaScript baptisé Impact pour créer facilement des jeux web.

Son plus gros succès à ce jour est l’excellent Biolab Disaster, un jeu de plateformes et d’action avec des armes, des monstres et une bande son géniale. Et le truc génial avec Phoboslab, c’est que leurs jeux tournent entièrement en HTML5, JavaScript et WebGL. Pas besoin de plugins, juste un navigateur récent qui respecte les standards. On peut donc jouer sur PC, Mac, mobiles et tablettes sans rien installer.

Leur site web regroupe toute une sélection de jeux gratuits et open source réalisés avec Impact ou leur moteur WebGL maison. On y trouve des petits shoot them up bien nerveux comme X-Type, des jeux façon Tetris comme Z-Type où il faut taper des mots pour détruire les ennemis (parfait pour le bureau), des RTS comme Voidcall façon Command & Conquer ou encore des FPS old-school façon Doom comme Xibalba ou ce portage de Quake de 13 kb. Il y en a pour tous les goûts.

Je vous encourage vraiment à tester leurs jeux, vous allez adorer. Certes on n’a pas encore des blockbusters en 3D dernière génération, mais pour se détendre rapidement pendant la pause café, c’est idéal.

Le studio semble un peu moins actif ces derniers temps, mais j’espère qu’ils nous préparent d’autres petites merveilles pixelisées.


Jelly Mario – Jouez à Super Mario Bros version gelée sur navigateur

Fri, 06 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

Amis geeks et passionnés de jeux vidéo rétro, aujourd’hui, je vais vous parler d’une petite pépite qui devrait ravir les fans de Super Mario Bros : Jelly Mario ! Imaginez un instant que notre plombier moustachu préféré ait abusé des champignons hallucinogènes… Eh bien c’est un peu l’effet que ça fait de jouer à Jelly Mario.

Concrètement, Jelly Mario c’est un Mario tout ramolli, qui se déplace comme de la gelée qui coule. Les contrôles sont pour le moins… surprenants ! Quand vous appuyez sur les touches de direction, Mario s’étire dans tous les sens de façon très élastique. Croyez-moi, les premières parties sont plutôt comiques !

Mais au-delà de cet aspect rigolo et décalé, Jelly Mario reste un vrai jeu de plateforme avec les mécaniques classiques de Super Mario Bros. Vous devrez toujours sauter sur les goombas, éviter les pièges et atteindre le drapeau à la fin du niveau. Sauf qu’avec un Mario en gelée, c’est tout de suite beaucoup plus délicat !

Techniquement, le jeu est développé en HTML5 et fonctionne directement dans le navigateur. Pas besoin d’installation, il suffit de se rendre sur le site https://jellymar.io/ pour commencer à jouer. Le jeu est gratuit et ne nécessite aucune inscription. C’est le genre de petit jeu addictif parfait pour une pause détente au bureau (mais je ne vous ai rien dit, hein !).

Graphiquement, on retrouve le pixel art coloré et charmant de Super Mario Bros, avec des animations en gelée qui donnent un côté très cartoon. La bande-son reprend les thèmes musicaux cultes de la série, mais avec des effets comiques quand Mario s’étire dans tous les sens. Et en termes de level design, le jeu propose des niveaux inspirés de ceux de Super Mario Bros, mais retravaillés pour exploiter la mécanique de gelée. On a ainsi des gouffres impossibles à franchir normalement qu’il faudra traverser en étirant Mario au maximum, ou des passages secrets accessibles uniquement en se faufilant par des interstices étroits. C’est malin et bien pensé.

Bien sûr, Jelly Mario n’a pas vocation à révolutionner le jeu vidéo, mais il offre une expérience amusante pour tous les fans de Nintendo. C’est le genre de petit jeu que l’on lance pour une partie rapide et qui finit par nous scotcher une bonne demi-heure grâce à son côté accrocheur et défoulant.

Perso, j’ai tenté plusieurs parties mais c’est hyper dur et je fini vite en particules subatomiques.

Alors si vous voulez voir Mario sous un autre jour (et sous champignons), je vous invite à tester Jelly Mario sans plus attendre.


Zsh-copilot – Et votre terminal devient intelligent

Thu, 05 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

Perso, je lance pas mal de commandes dans tous les sens chaque jour dans mon terminal et entre les petits paramètres que j’oublie, les enchainements de commandes un peu complexes ou les commandes à rallonge, ce que je peux vous dire, c’est que ça me prend un peu de temps.

Mais heureusement, zsh-copilot a débarqué dans ma vie il y a quelques mois et je ne peux plus m’en passer.

Ce plugin génial utilise la puissance de l’IA, directement intégrée à votre fidèle Zsh grâce zsh-autosuggestions.

Pour en profiter, rien de plus simple. Installez les dépandances suivantes :

Clonez le repo zsh-copilot dans votre dossier de plugins Zsh :

git clone https://github.com/Myzel394/zsh-copilot.git ~/.zsh-copilot

Puis ajoutez la ligne suivante dans votre fichier .zshrc avec cette commande :

echo "source ~/.zsh-copilot/zsh-copilot.plugin.zsh" >> ~/.zshrc

N’oubliez pas de relancer votre shell pour prendre en compte les changements.

Ah oui, j’oubliais ! Pour que la magie opère, vous aurez aussi besoin d’une clé API OpenAI. Ça coûtera donc un peu de sous, mais vu tout ce que ce plugin va vous apporter, ça vaut largement le coup d’investir dedans !

Une fois que tout est en place, vous n’avez plus qu’à commencer à taper vos commandes habituelles, et à presser Ctrl+Z dès que vous avez besoin d’un coup de main. Et là, c’est Merlin l’enchanteur qui entre en scène ! zsh-copilot va analyser ce que vous êtes en train de faire, et vous proposer la suite la plus pertinente. Vous pouvez même carrément lui demander ce que vous cherchez à faire et lui vous proposera la commande qui va bien.

Vous verrez, c’est bluffant. Au début, on a un peu l’impression de tricher, mais très vite, on se rend compte à quel point c’est pratique. J’en ai même fait une vidéo pour mes patreons d’amour :

Puis par la même occasion, j’ai découvert Zsh AutoSuggestions qui est également super pratique pour retrouver les commandes qu’on tape régulièrement.

Bref, comme d’hab, productivité x10 avec ce genre de petits tools. Rendez-vous sur le github pour en savoir plus.


Quill – L’éditeur WYSIWYG nouvelle génération

Wed, 04 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

Quill est une bibliothèque JavaScript de folie pour créer des éditeurs de texte riche (WYSIWYG). Et quand je dis riche, c’est pas seulement du gras et de l’italique hein, on est sur un niveau au-dessus !

En gros, Quill vous offre tout un tas d’outils pour transformer vos champs de texte tout moisis en une expérience d’édition de folie furieuse. Le truc cool, c’est que c’est pensé pour les développeurs, donc vous avez un contrôle total sur le contenu et les fonctionnalités.

Ce qui fait la force de Quill, c’est son API hyper intuitive. Pas besoin de se taper 3 jours de doc pour comprendre comment ça marche. En quelques lignes de code, vous pouvez déjà faire des trucs sympas. Tenez, regardez ça :

const quill = new Quill('#editor', {
  modules: {
    toolbar: true  
  },
  theme: 'snow'
});

Et bam, avec ça vous avez déjà un éditeur stylé avec une toolbar, prêt à l’emploi ! C’est pas beau ça ? En plus, Quill gère directement le JSON en entrée et en sortie, ce qui vous facilite grave la vie pour stocker et traiter le contenu ensuite.

Ce qui est vraiment cool avec Quill, c’est que vous pouvez étendre et personnaliser votre éditeur à l’infini. Vous voulez ajouter des formats chelous, des effets funky ou même intégrer des contenus interactifs ? Pas de soucis, Quill vous laisse faire tout ce que vous voulez.

Vous pouvez même créer vos propres modules pour ajouter des features de malade. Genre si vous avez besoin d’un éditeur d’équations mathématiques ? Hop, vous chopez le module sur npm et vous l’intégrez en deux-deux. Besoin d’un truc pour gérer des sondages? Pareil, y’a sûrement un module pour ça. C’est ça qui est génial avec l’écosystème de Quill!

Tiens d’ailleurs, laissez-moi te montrer un truc fun qu’on peut faire. On va créer un format custom pour mettre en forme du code source directement dans l’éditeur. Pour ça, on va créer un module qui va détecter les blocs de code et leur appliquer la coloration syntaxique.

import Quill from 'quill';
import Highlight from 'highlight.js';

const CodeBlock = Quill.import('formats/code-block');

class SyntaxCodeBlock extends CodeBlock {
  static create(value) {
    const domNode = super.create(value);
    domNode.innerHTML = Highlight.highlightAuto(value).value;
    return domNode;
  }
}

Quill.register(SyntaxCodeBlock, 'code-block', true);

Là en gros, on crée une nouvelle classe SyntaxCodeBlock qui étend le format code-block de base. Dans la méthode create, on récupère le noeud créé par la classe parente et on remplace son contenu avec le code coloré par Highlight.js. Ensuite, on n’a plus qu’à enregistrer notre nouveau format custom dans Quill et pouf, on peut mettre en forme du code directement dans l’éditeur!

C’est juste un exemple hein, mais ça montre bien la puissance et la flexibilité de Quill. Et puis c’est hyper fun de pouvoir bidouiller son éditeur comme ça ! Y’a même un playground ici pour vous amuser.

Bon après, je vais pas vous mentir, y’a quand même un petit temps d’adaptation hein. Faut comprendre comment Quill structure son modèle de document, comment bossent les différents modules, etc. Mais une fois qu’on a compris la logique, c’est open bar.

Ah et j’ai failli oublier un truc important: Quill est compatible avec tous les navigateurs modernes, que ce soit sur desktop ou mobile. Votre éditeur va se comporter de la même façon partout, ce qui est quand même super cool. Ah et la doc officielle est très bien faite.

Bref, si vous cherchez une solution d’édition de texte riche pour vos projets web, franchement je vous le recommande les yeux fermés.

Allez, codez bien et à plus dans l’bus !


BugStalker – Le debugger Rust puissant et convivial

Tue, 03 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

Je sais, convivial c’est un mot bizarre pour parler d’un outil de débogage, mais celui-ci va vous faire kiffer si vous codez en Rust. Ça s’appelle BugStalker et c’est juste le debugger qu’il vous faut pour traquer les bugs vicieux dans vos programmes puisqu’il comprend toutes les subtilités du langage.

Ça veut dire qu’il sait gérer les types Rust complexes comme les vecteurs, les pointeurs intelligents et même les variables locales des threads. Et il ne fait pas que les afficher joliment, il vous permet carrément d’interagir avec !

Vous pouvez poser des breakpoints où vous voulez dans votre code, que ce soit sur une ligne précise, une fonction ou même une instruction assembleur. Et quand votre programme s’arrête sur un breakpoint, vous pouvez contrôler son exécution pas à pas, rentrer dans les fonctions ou les sauter, tout ça à la volée.

Et si vous avez besoin d’inspecter les données de votre programme, il a ce qu’il vous faut dans le ventre. Vous pouvez par exemple évaluer des expressions pour afficher les variables locales et globales, les arguments des fonctions, et même découper des tableaux ou des vecteurs pour voir ce qui se cache dedans.

L’outil vous propose deux interfaces au choix : une classique en ligne de commande, et une interface graphique en mode TUI (Text User Interface) qui claque. Et le kif, c’est que vous pouvez passer de l’une à l’autre quand vous voulez pendant une session de débogage !

Ah et j’allais oublier un truc énorme : les Oracles ! Non, je ne parle pas de la boîte qui fait des bases de données, mais d’une fonctionnalité trop stylée de BugStalker. En gros, c’est des modules qui viennent se greffer au debugger pour vous filer des infos sur des aspects spécifiques de votre programme. Par exemple, l’Oracle Tokio vous donne des insights sur le runtime Tokio si vous faites de l’asynchrone, sans avoir à modifier votre code. Trop fort !

Bon allez, je vais pas vous faire languir plus longtemps. Si vous voulez essayer, c’est tout simple, vous installez ça avec cargo :

cargo install bugstalker

et hop, vous êtes prêts à déboguer comme des pros. Et si jamais vous avez un souci avec la dépendance libunwind, y a même une version sans, mais entre nous, libunwind c’est quand même mieux.

Franchement, je « ne contracte pas » quand je vous dis que BugStalker c’est le debugger qu’il vous faut pour vos projets Rust. Avec lui, traquer les bugs c’est presque devenu un sport national, alors go sur https://github.com/godzie44/BugStalker , votre code Rust vous dira merci !

Allez, sur ce je vous laisse, j’ai un programme à déboguer moi (non, mon code est parfait).


SampleWizard – Enregistrez et téléchargez des samples audio en un clic depuis votre navigateur

Mon, 02 Sep 2024 07:00:00 +0000 - (source)

Vous êtes un producteur de musique, un créateur de contenu ou tout simplement un passionné d’audio qui aime sampler des sons depuis le web ?

Et bien, je viens de découvrir SampleWizard, une extension Chrome géniale qui va bousculer votre façon d’enregistrer et de télécharger des samples audio. Fini les galères avec les sites de téléchargement douteux, ça vous permet de capturer n’importe quel son sur le web en un seul clic directement depuis votre navigateur. C’est magique !

Bref, vous surfez tranquillement sur YouTube, Soundcloud ou n’importe quel site web, et soudain vous tombez sur un extrait audio qui vous fait kiffer. Avec cette extension, pas besoin de chercher un moyen de le télécharger, il vous suffit de cliquer sur le bouton d’enregistrement de l’extension et hop, le tour est joué ! Le sample est ainsi automatiquement enregistré et téléchargé sur votre ordinateur au format WAV. C’est simple comme bonjour.

L’interface de SampleWizard est simple, vous n’avez qu’un bouton à cliquer pour enregistrer et un autre pour accéder à vos samples téléchargés. Je crois que c’est ce qu’utilise la grand mère de Steve Aoki quand elle repère un sample qu’elle veut lui envoyer.

En plus de ça, c’est est entièrement gratuit en version de base. Que demande le peuple ?

Rendez-vous sur le Chrome Web Store pour en profiter. Quand à moi, je retourne chasser du sample sauvage moi.


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